Photo illustration ministre de la Sécurité, déclaration sur la déstabilisation du Burkina, 23 septembre

Sécurité/Burkina : Qui sont les personnes impliquées dans l’opération de déstabilisation contre le Burkina ? (Ministre Sécurité)

Selon le ministre de la Sécurité, le Commissaire divisionnaire de police Mahamadou Sana, des ressortissants Burkinabé résidant à l’étranger font partie d’une opération de déstabilisation du Burkina Faso. Il a fait cette déclaration ce 23 septembre 2024 sur les antennes de la RTB.

Il s’agit : 

Aziz Diallo, ancien maire et député de Dori, travaillant actuellement en Centrafrique au compte d’un organisme international. Il est en contact avec un groupe terroriste de l’Etat Islamique au Grand Sahara (EIGS) à travers un de ses oncles installé dans la ville de Dori.

Ousmane Moumouni Raouni Diallo, oncle de Aziz Diallo, ancien combattant de l’EIGS, ancien coordonnateur des négociations avec les groupes terroristes sous l’ancien Président Damiba.

 Aziz Dabo, ex agent de l’ANR en fuite, connu sous le nom de code « lionel ».

Abdoulaye Barry, connu sous le nom de code « le voyageur ». Il est le lien entre les puissances occidentales, les terroristes et la partie militaire.

Un certain Serge Maturin, journaliste nigérien d’origine ivoirienne représentant « le voyageur » au Niger. 

Djibril Yipéné Bassolé, ancien ministre des Affaires étrangères du Burkina Faso.

Newton Ahmed Barry, ancien Président de la CENI.

Alpha Barry, ancien ministre des Affaires étrangères du Burkina Faso.

Le Commandant François ZOUNGRANA alias « César ».

Le Commandant Hermann Zongo qui renseignant sur les positions des vecteurs aériens et des mouvements de l’armée.

Le Commandant Johanny Compaoré, ancien Directeur Général de la SONABHY qui recherchait des drones kamikazes.

Le Colonel Zalla travaillant dans le système des nations unies en Centrafique.

Le lieutenant-colonel Paul Henri Sandaogo Damiba alias « le patriarche » qui dirige le volet militaire de ce complot.

Le lieutenant-colonel D. Roméo Ouoba alias « Rodriguez » qui est le chef du centre des opérations à Accra.

Il y a aussi plusieurs autres officiers à l’extérieur du pays sur lesquels les investigations se poursuivent, selon le ministre de la Sécurité.

Latribunedufaso.net

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