Droits digitaux au Burkina Faso : « Il faut laisser le journaliste faire son travail », Ousmane Paré de l’AJB

A la faveur d’un café citoyen sur les droits digitaux (les droits de l’internet), initié par le Centre d’information et de formation en matière de droits humains en Afrique (CIFDHA), différents panélistes ont intervenu, à tour de rôle, sur la modification assez récente du code pénal en lien avec la régulation de l’usage d’internet et des réseaux sociaux. C’était le mardi 27 août à Ouagadougou. Lire la suite…

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Centre-Nord : Le ministre Salifou Ouédraogo échange avec les acteurs du développement rural

Après avoir apprécié l’état de la campagne agricole, globalement satisfaisante, dans les exploitations de la région du Centre-Nord, le ministre Salifou Ouédraogo a échangé avec les acteurs du développement rural.  Il a présenté les nouvelles initiatives de son département, notamment le développement de l’agriculture contractuelle, la mise en œuvre du nouveau modèle d’exploitation agricole et le renforcement de la e-vulgarisation. Lire la suite…

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Entreprendre au Faso : Oser agir

1 247 000 candidatures. C’est le nombre exact des postulants aux concours directs de la Fonction publique session 2019. Ce qui donne une perception des chercheurs d’emplois qui frappent aux portes de l’administration publique Burkinabè. Mis à part le secteur privé. Diplôme en main, beaucoup ne savent plus à quel saint se vouer tant la demande dépasse l’offre, ce qui amenuise les chances d’avoir un job. Pour venir à bout de ce phénomène qui s’apparente à un fléau, il est nécessaire d’encourager fortement l’entreprenariat. Lire la suite…

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Environnement : Chaque année le Burkina utilise 353 590 kg de mercure

Le Burkina Faso, soucieux de préserver son environnement du fait de l’exploitation minière, a signé puis ratifié la Convention de Minamata sur le mercure. Ceci fait, il s’est donc engagé à sa mise en œuvre ; laquelle mise en œuvre nécessite préalablement l’élaboration d’un rapport d’évaluation initiale, qui servira à son tour, de document de référence. Lire la suite…

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Bureau national de l’Ordre des pharmaciens du Burkina Faso : Dr Alfred Sandouidi réélu président

C’est encore Dr Alfred Sandouidi, président sortant du bureau national de l’Ordre des pharmaciens du Burkina Faso, qui présidera aux destinées de l’Ordre durant les quatre prochaines années. Sa réinstallation officielle audit poste est intervenue au cours d’une cérémonie organisée le mardi 13 août 2018, au siège dudit conseil, à Ouagadougou.

Une vue du bureau du Conseil national de l’Ordre des pharmaciens du Burkina Faso

Réélu à la tête du bureau national de l’Ordre national des pharmaciens du Burkina Faso à  l’occasion du 7e congrès ordinaire de l’Ordre, le 23 juillet 2019, Dr Alfred Sandouidi, officiellement réinstallé a fait savoir sa fierté et sa reconnaissance pour la confiance, une fois de plus placée en lui et son équipe. « Je voudrais une fois de plus exprimer ma fierté et ma très grande reconnaissance ainsi que celle des membres du nouveau bureau pour la confiance qui nous a été accordée pour gouverner notre institution », a-t-il affirmé.

Aussi, se disant conscient des exigences et des obligations que comporte cette confiance en eux placée, il a assuré de l’énergie et de l’enthousiasme qui seront mis afin d’être à la hauteur de cette confiance. « Nous avons conscience d’une chose, cette confiance comporte des exigences et des obligations… Je puis vous assurer que tous les membres du bureau entrant mettront en commun leurs énergies et leur enthousiasme pour être à la hauteur de cette confiance », a indiqué le président Sandouidi.

C’est ainsi qu’il présente la vision de son bureau pour ce mandat ; qui n’est autre que « de faire de l’Ordre national des pharmaciens une institution dynamique, moderne, fidèle aux valeurs de notre profession, et résolument tournée vers l’avenir. ». Et reconnait du même coup, les défis auxquels devra faire face son équipe. Il s’agit notamment de « consolider les acquis liés à la mise en œuvre de la mission première de l’ordre, qui est de contrôler l’accès et l’exercice de la profession ; d’édifier la maison du pharmacien, qui servira de siège de l’Ordre et du syndicat des pharmaciens ; renforcer la qualité des actes pharmaceutiques, etc. », a cité Dr Sandouidi.

Si la réélection du docteur Alfred a été possible, c’est comme il le dit si bien lui-même au regard de la qualité du travail abattu par les membres de son ancien bureau ou du moins du bureau sortant. Ce faisant, il n’a pas manqué de les remercier et cela, en décernant à chacun des trois membres une récompense.

A l’endroit des membres du bureau entrant dont certains sont issus du bureau sortant, il a invité à une mobilisation exceptionnelle de tous les instants pour qu’au soir de leur mandat, ils puissent regarder avec satisfaction leur bilan non seulement dans l’intérêt de leur profession, mais aussi de la santé publique.

Le bureau entrant est composé de sept (7) membres élus pour un mandat de quatre (4) ans.

 

Tambi Serge Pacôme Zongo

La Tribune du Faso

 

Encadré : liste des membres du bureau du Conseil National de l’Ordre des Pharmaciens du Burkina Faso

 

NOM PRENOM

POSTE

1 SANDOUIDI Alfred Président
2 SOULAMA Issiaka Secrétaire Général
3 DJIERRO Kady Trésorière
4 OUEDRAOGO Sabine Secrétaire chargé de l’information et de la communication
5 OUEDRAOGO Charles Didier Secrétaire chargé de l’organisation et de la formation continue
6 KAFANDO Patrick Emery Secrétaire chargé de la réglementation
7 DOUAMBA  Olivier Secrétaire Général Adjoint
8 BEREHOUDOUGOU Aristide Commissaire au compte
9 MOYENGA Alimata Commissaire au compte
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8e Traité d’amitié et de coopération ivoiro-burkinabè : les prochaines conférences au sommet des chefs d’Etat désormais chaque deux ans

La 8e conférence au sommet des chefs d’Etat du Traité d’amitié et de coopération(TAC) entre la république de Côte d’Ivoire et le Burkina Faso s’est tenue à Ouagadougou, du 27 au 31 juillet 2019. Elle a été conjointement présidée par les chefs d’Etat des deux pays, Alassane Ouattara et Roch Kaboré. L’on retient principalement de ce huitième acte des innovations majeures pour les prochaines éditions, notamment le déroulement de ladite conférence chaque deux ans.

En prélude à cette 8e conférence au sommet, les experts des deux pays se sont réunis, du 27 au 29 juillet 2019 à Ouagadougou, au pays des Hommes intègres.  Ladite rencontre a de même été suivie par le conseil conjoint de gouvernements, le 30 juillet 2019.

Ce sommet a été l’occasion, pour les deux chefs d’Etat, de procéder à l’évaluation de la mise en œuvre des décisions et recommandations de la septième édition du TAC, tenue à Yamoussoukro en juillet 2018. Il s’agit des questions de sécurité et de lutte contre le terrorisme, de migration, de coopération transfrontalière, de coopération dans le domaine des mines, de coopération en matière d’énergie et de coopération dans le domaine des transports. Sur ces points, les chefs d’Etat ont pris et réaffirmé leurs engagements, lancé des appels et instruit des ministres à prendre des mesures diligentes.

La fin des travaux de ce huitième acte de coopération entre les deux pays voisins a permis la signature de trois (03) accords dans les domaines des frontières, des mines et géologie et de la protection des enfants. Huit autres accords en marge des travaux du conseil conjoint de gouvernements ont été signés.

L’autre point important à retenir de cette rencontre de Ouagadougou, est la décision commune des deux coopérants de fixer la tenue des prochaines conférences au sommet des chefs d’Etat chaque deux (02) ans et la réunion du comité de supervision annuellement, alors précédée de la réunion du comité conjoint de suivi et d’évaluation. Toute décision, qui devrait entrer en vigueur après la tenue de la 9e conférence au sommet du TAC à Yamoussoukro, prévue pour juillet 2020.

Tambi Serge Pacôme Zongo

La tribune du Faso

Source : Communiqué final du 8e TAC 

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