6ème édition du Salon international de l’arbre : Un Burkina Faso vert, tel est le souhait du ministre Baro 

Le jeudi 18 juillet 2024 à Ouagadougou, le ministre de l’Environnement, de l’Eau et de l’Assainissement, Roger BARO, a procédé à l’ouverture de la 6 édition du Salon International de l’Arbre (SIA). C’était en présence des anciens ministres en charge de de l’Environnement et des autorités administratives et coutumières de la ville de Ouagadougou. 

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6ème édition de la Journée nationale de l’arbre (JNA) : Rendez-vous le 22 juin 2024 à Bobo-Dioulasso

Le comité National d’Organisation (CNO) de la Journée Nationale de l’Arbre (JNA) édition 2024, a tenu le mercredi 22 mai 2024 à Ouagadougou, une rencontre présidée par le Ministre l’Environnement de l’Eau et l’Assainissement, Roger Baro. L’objectif de cette rencontre est de permettre aux membres du CNO de se concerter sur l’organisation de l’événement.
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Soutenance de thèse : Badza Kodami analyse le cycle de vie des centrales photovoltaïque des pays en voie de développement

Le 16 janvier 2024 à Ouagadougou (Ecole Doctorale Sciences et Technologies de l’Eau, de l’Energie et de l’Environnement de l’institut, 2iE), Badza Kodami a défendu sa thèse de doctorat sur le thème « Analyse du cycle de vie des centrales photovoltaïque dans le contexte des pays en voie de développement : cas du Burkina Faso ».

A travers ce thème, l’impétrant cherche à évaluer les impacts environnementaux des centrales photovoltaïques (PV) installées au Burkina Faso.

 L’outil analyse du cycle de vie (ACV) qui est une méthode d’évaluation des impacts environnementaux global d’un produit ou d’un service tout au long de son cycle de vie, de la production à la fin de vie a été utilisé dans le cadre de cette thèse. Aussi, une enquête a été menée dans la ville de Ouagadougou pour évaluer l’état de la gestion actuelle des déchets issus des installations photovoltaïques.

Plusieurs résultats ont été obtenus à l’issue des analyses. Les profils environnementaux des centrales PV de grande et moyenne tailles installées au Burkina Faso sont dominés par les processus de fabrication des modules PV (70-80%), les structures de montage (18-25%) et par les processus de fin de vie des composantes des installations PV (30- 45%). Les centrale PV de petites tailles quant à elles sont dominées par le processus de fabrication des batteries plomb-acide (34-97%).

Pour ce qui est de la gestion actuelle des déchets PV au Burkina Faso, l’enquête a montré que l’absence de législation sur la gestion des déchets est à l’origine de la prolifération d’unités de recyclage informelles dans les grandes agglomérations. Le scénario de recyclage partiel et le scénario de recyclage total des composants des installations PV réduiraient les impacts environnementaux d’environ 30 à 90% en fonction de l’indicateur environnemental considéré.

Après la présentation des travaux et les échanges, le jury a attribué la mention très honorable à Badza Kodami.

« A présent, mes projets professionnels vont porter sur l’industrie, la recherche, la consultation, la régulation et même l’enseignement », a laissé entendre le désormais Docteur en sciences et technologies de l’eau, de l’énergie et de l’environnement, spécialité énergie.

Latribunedufaso.net

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Soutenance de thèse : Abdoul Aziz Ouiminga propose le recyclage des panneaux solaires usés en ustensiles de cuisine et en construction de béton

« Valorisation des déchets issus du matériel solaire au Burkina Faso : recyclage des composantes de modules photovoltaïques usés », c’est sur ce thème que Abdoul Aziz Ouiminga a orienté sa thèse de doctorat unique en physique appliquée. A travers ce thème, l’impétrant vise à explorer des solutions innovantes pour le recyclage des déchets des panneaux photovoltaïques usés dans le contexte spécifique du Burkina Faso. Après avoir fait la présentation, le jury a jugé ses travaux de recherche recevables avec la mention très honorable. C’était le samedi 23 mars 2024 à l’Université Joseph Ki-Zerbo (UJKZ) à Ouagadougou.
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Autorité du Bassin De la Volta : Le Directeur Exécutif chez ministre Augustin Kaboré

Le Ministre de l’Environnement, de l’Eau et de l’Assainissement, le Dr Augustin KABORE a reçu dans la soirée de ce jeudi 2 mars 2023 à son cabinet, le Directeur Exécutif de l’Autorité du Bassin De la Volta (ABV) Robert Yaovi DESSOUASSI. Au cœur des échanges, la présentation des activités majeures de l’institution et les difficultés auxquelles elle fait face.

Avant d’entrer dans le vif du sujet, Robert Yaovi DESSOUASSI a présenté ses félicitations au Ministre pour sa nomination à la tête du Département. Comme activités majeures de l’ABV, il y’a par exemple la mise en œuvre des projets régionaux portant sur la gestion et la prévention des inondations, comme le projet PRECOM pratiquement clôturé. A cela s’ajoutent de nouveaux projets en instance de démarrage, tel que le projet d’amélioration des connaissances pour un développement concerté dans le bassin de la volta, financé par la Banque Africaine de Développement (BAD) à travers le Fonds Africain de l’eau (FAE) et l’Agence Autrichienne de Développement (ADA).

 La particularité du Burkina Faso dans ce programme a affirmé le Directeur Exécutif de l’ABV est que « dans sa composante 2 basé sur le barrage du Noumbièl, nous avons supporté jusqu’à son inscription au niveau du programme d’infrastructures de développement de l’Union Africaine et dont l’actualisation des études du projet est financé par la BAD ». Selon lui le barrage du  Noumbièl est retenu comme la 10ème  grande infrastructure hydraulique en Afrique de l’ouest, et va permettre la création de plusieurs activités comme la production agricole et la création d’emplois.

 Comme problèmes, Robert Yaovi DESSOUASSI a évoqué des difficultés financières, notamment des soucis au niveau des contributions annuelles des Etats membres. Il a saisi l’occasion pour présenter au Ministre l’état des recouvrements au 31/12/2022. En retour, le Ministre Augustin KABORE a salué la démarche et félicité l’équipe pour le travail qu’elle abat en matière de gestion et de développement des ressources du bassin de la volta. Il faut noter que l’ABV est une organisation sous régionale, constituée par le Burkina Faso, le Mali, la Côte d’Ivoire, le Bénin, le Togo et le Ghana, 6 pays qui partagent le Bassin de la Volta.

Le Miniqtère de l’Environnement, de l’Eau et de l’Assainissement

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Direction générale de l’économie verte et du changement climatique : Les acteurs font le bilan de l’année écoulée et se projettent en 2024

La Direction générale de l’économie verte et du changement climatique (DGEVCC) a tenu sa première session de l’Assemblée générale de l’année 2024. C’était le mercredi 31 janvier 2024 à Ouagadougou. L’ouverture des travaux a été présidée par le premier responsable de la structure, Saïdou Soro. La rencontre a pour but de faire le bilan de l’année 2023 et de présenter le Projet de plan de travail et de budget de l’année (PTBA) 2024.
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Construction de centrales électronucléaires au Burkina : Une délégation de l’AIEA et le ministre de l’Environnement échangent sur le projet 

Le lundi 29 janvier 2024 à Ouagadougou, le ministre de l’Environnement, de l’Eau et de l’Assainissement, Roger Baro a accordé une audience à une délégation de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA). La délégation était conduite par le Directeur général adjoint, Chef du département de l’énergie nucléaire de l’AIEA au Burkina Faso, Mikhail Chudakov. Le projet d’implémentation de centrales électronucléaires au Burkina Faso était à l’ordre du jour.
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Autorisation de pesticides non homologués dans la culture du coton au Faso : solution pérenne ou dépannage ponctuel ?

Réuni en Conseil des ministres le 8 février 2023, le gouvernement burkinabè a autorisé l’utilisation de pesticides non homologués pour lutter contre des insectes ravageurs de la famille des jassides, notamment les Amrasca biguttula, qui détruisent les cultures de coton. Même si cette décision vise à relancer la production cotonnière en baisse depuis 2021, elle inquiète les experts en raison du danger que ces pesticides représentent pour les autres cultures. L’Etat met-il alors en danger la culture vivrière au profit de la culture de rente ? Lire la suite…

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