Agriculture : Un besoin céréalier de 72 000 tonnes pour la population 

« Gouvernance des projets et programmes pour une réelle contribution à la réalisation des missions du ministère : solutions et perspectives ». C’est sous ce thème que ce tient ce lundi 24 avril 2023, à Ouagadougou, la première session ordinaire de l’année 2023 du Conseil d’administration (CASEM) du ministère de l’Agriculture. Objectif, examiner le rapport bilan de la mise en œuvre des activités de 2022.
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Crise sécuritaire : « L’univers musical du Burkina est un peu souffrant de nos jours », Bemida, artiste musicienne

Bemida, de son vrai nom Bintou Alida Abem, est une artiste burkinabè qui a fait ses débuts dans la musique il y a de cela 4 ans. Originaire de la ville de Pô (province du Nahouri, région du Centre-sud), elle fait de l’afrobeat, un genre musical qui est né du métissage de la musique traditionnelle et moderne. Présentement, elle est en studio pour préparer la sortie de son premier album qui sera intitulé « Dounia ». L’artiste est passé à la Latribunedufaso.net pour parle de son amour pour la musique, ses projets artistiques et son souhait de retrouver un Burkina Faso de paix et de sécurité. Lisez plutôt.
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Concours direct 2023 : Plus de 7 000 agents a récruté

Conseil des ministres : l’Etat recrute plus 7 000 agents par concours directs cette année
(Ouagadougou, 19 avril 2023). Le Président de la Transition, Chef de l’Etat, le Capitaine Ibrahim TRAORE a présidé ce mercredi le Conseil des ministres. Selon le ministre de Communication, de la Culture, des Arts et du Tourisme, Porte-parole du Gouvernement, Jean Emmanuel OUEDRAOGO le Conseil a examiné et pris plusieurs décisions liées à la bonne conduite de la Transition.
Au titre du ministère de la Fonction publique, du Travail et de la Protection sociale, le Conseil a autorisé le recrutement de 7218 agents par concours directs et 5283 pour les concours professionnels session 2023. Le ministre d’Etat, ministre en charge de la fonction publique a précisé que pour les concours directs, l’accent est mis sur les secteurs prioritaires comme l’agriculture, la transformation digitale, la santé, avec un impact financier de plus de 22 milliards de francs CFA.
Une mesure importante concernant cette décision, c’est qu’à compter de cette année, les agents recevront une formation complémentaire de 3 mois maximum qui prend en compte « la déontologie, la connaissance d’un certain nombre d’outils de l’Etat, mais aussi et surtout la formation militaire », au regard du contexte que vit le Burkina Faso.
Au titre du ministère de l’Economie, des Finances et de la Prospective, la décision prise porte sur la création d’une contribution spéciale sur certains produits de grande consommation pour alimenter le Fonds de soutien patriotique. L’adoption de l’avant-projet de loi y relative, selon le ministre en charge des finances, Aboubakar NACANABO, permet « de renforcer le cadre juridique de cette taxe spéciale qui existe déjà sur certains produits comme la boisson, la cigarette, les produits cosmétiques ».
Toujours pour le compte du ministère en charge de l’Économie, le Conseil a adopté un projet de décret relatif à l’érection du Centre de promotion de l’aviculture villageoise en Etablissement public de l’Etat à caractère administratif. Ce changement va permettre à la structure d’être plus autonome et plus opérationnelle, a indiqué Amadou DICKO, ministre délégué chargé des Ressources animales.
Concernant le ministère de l’Energie, des Mines et des Carrières, le Conseil a examiné un projet de loi modificatif de la loi portant code minier au Burkina Faso en vue d’intégrer de nouvelles dispositions. Le ministre en charge des mines, Simon-Pierre BOUSSIM a précisé qu’il s’agit de modifier les articles 26 et 30 afin que le Fonds minier de développement local puisse soutenir le Fonds de soutien patriotique.
Au titre du ministère de la Santé et de l’Hygiène publique, le Conseil a adopté un décret relatif aux modalités de prise en charge financière du traitement des cancers par la radiothérapie au Burkina Faso. Trois catégories de patients ont été identifiées selon le ministre de la Santé, Robert Lucien Jean Claude KARGOUGOU. La première est relative aux patients disposant d’une assurance maladie pour qui l’assurance prend en charge. La deuxième concerne les cancers féminins, les cancers des enfants de moins de 15 ans, les cancers de la prostate et les personnes indigentes que l’Etat prend en charge à 100%, et enfin la troisième catégorie constituée de tous les autres pour lesquels la pris en charge de l’Etat est de 70%.
Direction de la Communication de la Présidence du Faso
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Gare Ouaga inter : Qu’est-ce qui explique le déguerpissement “musclé” des marchands de bétail?

Le samedi 15 avril 2023, la commune de Ouagadougou a mené une opération inopinée de déguerpissement des marchands de bétail du marché de Toyibi installés sur le site de la gare Ouaga inter. Afin d’expliquer les péripéties de ladite opération, la Commune a rencontré la presse ce mercredi 19 avril 2023 à Ouagadougou.
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Ministère de l’Energie et de mines : SEMICA, China Yunhong Group et ALG chez le ministre BOUSSIM

Carnet d’audiences : China Yunhong Group et ALG présentent leurs programmes et investissements à Simon-Pierre BOUSSIM
Le ministre de l’Energie, des Mines et des Carrières, Simon-Pierre BOUSSIM a accordé des audiences à quatre personnalités, le mardi 18 avril 2023 à Ouagadougou.
Le premier à être reçu est le président du directoire du Salon international de l’énergie des mines et des carrières (SEMICA).Philippe OUEDRAOGO. Lui et sa délégation sont venus faire le point de l’organisation des salons internationaux où le SEMICA est impliqué à leur hôte. Ce fut une occasion pour échanger sur des sujets d’intérêt commun, en particulier la tenue prochaine de la Semaine des Activités Minières d’Afrique de l’Ouest (SAMAO).
A la suite du Directoire du SEMICA, c’est l’amicale des secrétaires du Ministère de l’Economie des Finances et de la Prospective, conduite par sa présidente Sabine KAFANDO, qui a été reçue. Féliciter de vive voix le chef du département, et lui présenter leur structure, tels ont été les objectifs de la visite. Entouré de son staff technique, Simon-Pierre BOUSSIM a également échangé avec Lui YUBAO, Président directeur général de « China Yunhong Group » et Président de l’Alliance Économique, d’affaires et Agricoles des pays Africains (LEAPA). Les échanges entre les deux personnalités ont porté sur les investissements pour le développement des techniques d’exploitation écologiques des mines.
La dernière audience a été accordée à la Secrétaire Exécutive de l’Autorité de développement intègre des Etats du Liptako-Gourma (ALG), Hawa AW. Elle a présenté au Ministre Simon-Pierre BOUSSIM les programmes de développement des énergies renouvelables ainsi que leur financement.
Direction de la Communication et des Relations Presse
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Ministère de la Fonction publique : Bassolma Bazié échange avec les pensionnaires de l’ENAFA/M

Ecole nationale de Formation Agricole de Matourkou : les préoccupations des stagiaires exposées au ministre d’Etat, Bassolma Bazié
Le ministre d’Etat, ministre de la Fonction publique, du Travail et de la Protection sociale, Bassolma Bazié, a reçu, dans la matinée de ce lundi 17 avril 2023, à Ouagadougou, une délégation du bureau des stagiaires de l’Ecole nationale de Formation Agricole de Matourkou (ENAFA/M).
La délégation, venue de Bobo-Dioulasso, dit être venue pour exposer au ministre d’Etat, des préoccupations liées à la durée de la formation des stagiaires qui est de 36 mois pour les cycles de catégorie A.
Selon le délégué de l’ENAFA/M, Do Sanou, les ingénieurs en agriculture, les ingénieurs en pédologie, les ingénieurs en agriculture option vulgarisation, les conseillers d’agriculture font 36 mois de formation.
De son avis, les textes concernant la durée de la formation dans les écoles et centres de formation professionnelle de l’Etat ont été harmonisés à 24, 21 et 18 mois pour respectivement les catégories A, B, C.
Mais, a relevé M. Sanou, au regard de sa spécificité, l’ENAFA/M a fait une dérogation pour que « nous puissions faire 36 mois de formation ».
« Nous ne remettons pas en cause la formation au regard de la dérogation qui est prévue mais nous demandons que cette dérogation puisse être accompagnée par des mesures qui vont aussi arranger le formé et non le brimer », a-t-il souhaité.
Il a ajouté : « C’est au regard de cette situation et après avoir entrepris des démarches administratives que nous avons jugé qu’il est bon de venir rencontrer le ministre d’Etat, ministre en charge de la Fonction publique pour plaider auprès de lui afin qu’il puisse regarder notre situation et s’y pencher pour que justice nous soit rendue quelque part ».
Après avoir écouté ses hôtes du jour, Bassolma Bazié a salué leur démarche d’aller à l’information.
« Nous allons analyser les doléances et voir ce qu’il y a lieu de faire, de concert avec les autres départements ministériels », a répondu le ministre Bazié.
DCRP/MFPTPS
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Santé : Le ministère visite l’usine de production de seringues et de gants chirurgicaux

Production de seringues et de gants chirurgicaux
Une équipe du ministère de la Santé sur le site de SIPHARJOONG
Une délégation du ministère de la Santé et de l’Hygiène publique, conduite par la conseiller technique du ministre, Dr Liliane Gounabou, représentant le premier responsable du département en charge de la Santé et le Directeur général de l’accès aux produits de santé, Dr Zakaryia Yabré, a visité, le 17 avril 2023, l’usine de production de seringues à usage unique et de gants chirurgicaux SIPHARJOONG Burkina SA.
Situé à Balkuy, dans l’arrondissement 11 de Ouagadougou, cette usine, spécialisée dans la production de seringues et de gants chirurgicaux, envisage à terme, de produire par an, 10 millions de gants chirurgicaux et 50 millions de seringues à usage unique. Le Président du conseil d’administration (PCA) de SIPHARJOONG, Issaka Sanfo, en tête, a présenté à la délégation du ministère, l´usine de production des seringues, le site qui abritera l’usine de productions des gants, le grand magasin pour le stockage des produits, la chambre froide et le bâtiment administratif. A en croire le PCA, les travaux sont à un taux d’exécution de 60%.
Pour rappel, la pose de la première pierre de l’usine est intervenue en mai 2018 et les premiers responsables du ministère de la Santé et de l’Hygiène publique souhaitent que les travaux avancent plus vite afin que cette usine contribue à renforcer la disponibilité des produits de santé au Burkina Faso. Tout en félicitant l’équipe de SIPHARJOONG pour son initiative et le travail abattu, la conseiller technique du ministre et le Directeur général de l’accès aux produits de santé les a encouragé et ont prodiguer des conseils pour accélérer le processus sur tous les plans. L´équipe du ministère a souhaité connaître les différents goulots d´étranglement pour voir à quel niveau le département peut intervenir. Au nom du ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, Dr Liliane Gounabou a souligné la disponibilité du ministère en charge de la Santé pour accompagner SIPHARJOONG Burkina SA dans la réalisation de cette usine qui va sans doute, faciliter l’accès aux seringues à usage unique et aux gants chirurgicaux dans le pays.
DCRP/MSHP
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Lampadaires solaires : Un guide en cour de validation pour le déploiement et l’exploitation

Déploiement des lampadaires solaires au Burkina Faso
Un guide en cours de validation.
Le Directeur général de la transition énergétique, Dr Wend Dolean Arsène ILBOUDO, a présidé les travaux de l’atelier de validation du guide de déploiement, d’exploitation et d’entretien des lampadaires solaires au Burkina Faso. C’était le vendredi 14 avril 2023 à Ouagadougou.
Le Ministère de l’Energie, des Mines et des Carrières a bénéficié de l’appui financier de la commission de l’UEMOA pour élaborer un guide de déploiement, d’exploitation et d’entretien des lampadaires solaires au Burkina Faso. L’étude, portée par la Direction générale de la transition énergétique(DGTE) a permis d’élaborer un projet de guide. Et à cet atelier, il a été question de présenter ce projet de guide à l’ensemble des acteurs impliqués pour examen et validation. Selon le Directeur général de la transition énergétique, Dr Wend Dolean Arsène ILBOUDO, l’élaboration de ce document s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre des activités de pérennisation des lampadaires solaires installés dans les régions du Centre et du Centre-Est par le Programme régional de développement des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique (PRODERE) mis en œuvre entre 2013 et 2016. « Les études ont révélé que 75% des lampadaires solaires installés en 2016 sont défectueux » a-t-il révélé. La DGTE entend donc vulgariser le document auprès des collectivités territoriales et d’autres structures intéressées. Elle compte aussi former des acteurs sur l’utilisation de ce guide d’exploitation et d’entretien des lampadaires solaires au Burkina Faso.
Direction de la communication et des relations presse
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