Ministère de l’Energie et des mines : L’amicale des anciens travailleurs du BUMIGEB veut apporter sa pierre

Carnet d’audience
L’amicale des anciens travailleurs du BUMIGEB réaffirme son soutien au ministère.
Le ministre de l’Energie, des Mines et des Carrières, Simon-Pierre BOUSSIM, a reçu en audience, le vendredi 12 mai 2023, l’amicale des anciens travailleurs du Bureau des Mines et de la Géologie du Burkina Faso (BUMIGEB). Les membres de l’amicale disent être venus rendre une visite de courtoisie au ministre et lui présenter les objectifs de l’association. Au cours de cet entretien, ils ont exprimé leur disponibilité à l’accompagner pour la réussite de sa mission. « Nous sommes disposés à apporter toute contribution pour que nous puissions bouter hors de notre territoire le terrorisme qui nous empêche de travailler pour le développement de notre pays » a laissé entendre le président de l’amicale, François OUEDRAOGO.
Direction de la communication et des relations presse.
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Forêt classée de Kua : Un atelier pour parler de l’aménagement

Le ministère de l’Environnement, de l’Eau et de l’Assainissement à travers la direction générale des Eaux et Forêts, la direction régionale de l’environnement des Hauts-Bassins, organise les 9 et 10 mai 2023 à Bobo-Dioulasso, un atelier d’échanges et d’informations sur le projet d’aménagement de la forêt classée de KUA. Organisé avec l’appui financier de la coopération Luxembourgeoise, cet atelier vise à créer une alliance de conviction autour du projet d’aménagement de la forêt classée de Kua . La cérémonie d’ouverture a été présidée par la secrétaire générale de la région des Hauts -Bassins Mariama KONATÉ/ GNANOU, représentant le gouverneur.

C’est dans l’optique de fédérer toutes les synergies autour du projet d’aménagement de la forêt classée de Kua, qu’il est apparu nécessaire au ministère de l’Environnement, de l’Eau et de l’Assainissement, d’organiser cet atelier d’échanges et d’informations avec l’ensemble des parties prenantes, à Bobo-Dioulasso, dans la région des Hauts-Bassins. L’occasion pour le ministère en charge de l’environnement de présenter la vision du département pour la forêt classée de Kua à l’horizon 2053. Une vision qui veut que la forêt classée de Kua soit une réserve de biodiversité, un puits de carbone et un espace naturel d’éducation et de loisirs. Un espace de recherche offrant des emplois verts au profit des populations. L’objectif global étant de contribuer à préserver les écosystèmes naturels et lutter contre les changements climatiques.

Le plan d’aménagement prend en compte une clôture du périmètre, des aménagements paysagers, la construction d’infrastructures en vue de protéger les sources d’eau de la forêt et restaurer les ressources naturelles.

D’une superficie de 376 hectares, la forêt classée de Kua a été créée le 27 avril 1936. A ce jour, c’est une forêt qui compte 129 espèces forestières, des crocodiles, 106 espèces d’oiseaux de savane. etc.

Aujourd’hui, le poumon vert de la ville de Sya fait face à une déforestation et une dégradation dues aux pressions anthropiques liées à l’agriculture, à l’élevage, à l’orpaillage, la coupe du bois, une course effrénée sur le foncier entraînant des empiétements sur les limites de la forêt classée de Kua. C’est en cela que le programme BKF/023, Appui à la Gestion durable des Ressources Forestières, est une réponse à la dégradation de cette forêt. Pour les prochaines années, le programme entend injecter 12 milliards de nos francs dans la protection et la sauvegarde de l’environnement au Burkina Faso.

L’organisation de l’atelier d’échanges et d’informations sur le projet d’aménagement de la forêt classée de Kua permet d’expliquer le bien fondé de cet aménagement et d’avoir des relais qui mobiliseront à leur tour tous les citoyens en général et chaque ménage en particulier à être un agent des Eaux et Forêts, c’est à dire un ardent défenseur de la forêt classée de Kua.

En rappel, la coopération Luxembourgeoise à travers le programme AGREF, a permis dans sa phase initiale, de renforcer la sécurisation de six forêts classées en périphérie de Bobo-Dioulasso à travers leur immatriculation dans le plan cadastral du Burkina Faso. Il s’agit des forêts classées de Kou, de Dindéresso, de Kua, de Kuinima, de Péni et de Téré.

Le Ministère de l’Environnement, de l’Eau et de l’Assainissement

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Kundé music export : c’est parti pour la première édition 

En marge des kundé 2023, se tiennent du 10 au 11 mai 2023, les « kundé music export » . La cérémonie d’ouverture a eu lieu ce mercredi 10 mai 2023 à Ouagadougou. C’était au cours d’une conférence de presse présidée par le ministre de la Communication, de la culture, des arts et du tourisme, Jean-Emmanuel Ouédraogo, patron de cette première édition. Cela, en présence de Salfo Soré alias Jah Presse, commissaire général des kundé et de Salif Traoré alias A’Salfo, commissaire général du Festival des Musiques Urbaines d’Anoumanbo ( FEMUA). Lire la suite…

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Crise à la SN-SOSUCO : Les deux partie fument le calmé de paix grâce au ministre d’Etat Bassolma

Crise à la SN-SOSUCO : Le ministre d’Etat, Bassolma Bazié, réconcilie les deux parties
Le ministre d’Etat, ministre de la Fonction publique, du Travail et de la Protection sociale, Bassolma Bazié, a réconcilié les parties en crise à la Nouvelle Société sucrière de la Comoé (SN-SOSUCO) basée à Bérégadougou dans la région des Cascades.
En effet, ayant effectué le déplacement, ce mardi 9 mai 2023, à la recherche de solutions à la crise née du licenciement de cinq travailleurs suite à une grève, en mars dernier, le ministre d’Etat a pu mettre d’accord la direction générale et les travailleurs autour de huit points.
Ces huit points sont l’arrêt des précomptes sur les salaires des travailleurs pour cause du Service national pour le développement (SND), la reprise des cinq travailleurs licenciés, une trêve sociale pendant une période donnée, la tenue des rencontres ou réunions syndicales au sein de l’entreprise, la prise en compte des travailleurs dans l’attribution des villas ou parcelles de la SN-SOSUCO, la négociation salariale à discuter dans un climat social serein, la question des 2% parlant de la prime d’ancienneté, la présence d’un inspecteur du travail au sein du conseil d’administration.
Pour arriver à ces points de consensus, il a fallu au ministre d’Etat, ministre en charge de la Fonction publique et à sa délégation plusieurs heures de négociation avec les parties en crise.
La première rencontre a d’abord réuni la délégation ministérielle et la direction générale de l’entreprise.
Au cours des échanges, Bassolma Bazié, a indiqué que l’objectif de la rencontre est d’aboutir à des solutions qui puissent permettre à la direction générale et aux travailleurs de poursuivre leurs activités dans la sérénité.
«Mon souhait est que des mécanismes soient trouvés pour l’apaisement du climat social. Toute chose qui permettra à l’entreprise d’aller de l’avant», a-t-il émis comme voeu.
Prenant la parole à son tour, le Directeur général (DG) de la SN-SOSUCO, Moctar Koné, a relevé que depuis son arrivée à la tête de la structure, le dialogue a toujours prévalu avec la tenue de rencontres mensuelles avec le personnel qui, le plus souvent, définit l’ordre du jour à aborder.
Après les responsables, le ministre a, ensuite, échangé avec les représentants des travailleurs.
«Nous avons appris que le climat social n’est pas au beau fixe au sein de la SN SOSUCO. Nous ne pouvons pas entendre qu’il y a une crise sans venir échanger avec vous afin de trouver des solutions», a d’entrée de jeu fait savoir M. Bazié avant de passer la parole au porte-parole des travailleurs, Olivier Thiombiano.
Celui-ci, a exposé trois préoccupations faisant l’objet de la crise.
Elles sont liées à la liberté syndicale, la retenue de salaires de certains travailleurs pour raison de SND et un décret de 2010 octroyant une prime d’ancienneté dont la SN-SOSUCO applique en partie.
Appuyant son camarade, Abdoulaye Tiala a fait observer que c’est la question des retenues de salaires pour cause de SND qui a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase, car cela touche les plus jeunes.
Une trêve sociale deux ans
Après avoir écouté ces préoccupations, le ministre Bassolma Bazié a fait observer une pause pour une concertation avec sa délégation afin de dégager les points sur lesquels un consensus est possible.
Les points dégagés ont été portés d’abord à la connaissance de la direction générale puis aux travailleurs.
Réagissant aux propositions, le DG de la SN-SOSUCO, Moctar Koné, a laissé entendre qu’il y a des points qui sont au-dessus de ses prérogatives mais elles sont ressort du Conseil d’administration.
Les travailleurs ont approuvé les points proposés et décident d’observer une trêve sociale de deux ans.
Ainsi, durant cette période, ils doivent s’abstenir de mener des actions qui peuvent bloquer le fonctionnement de l’entreprise.
«24 mois pour une trêve sociale afin de sauver la SN SOSUCO n’est vraiment pas incroyable, mais il faut qu’on nous aide à éviter les situations qui pourrissent le climat social», a soutenu Abdoulaye Tiala, secrétaire général du comité CGTB de la SN-SOSUCO.
Le ministre d’Etat a pris l’engagement d’être disponible durant la période de trêve pour un climat de travail social apaisé.
«Sur ce, cette rencontre scelle la réconciliation entre les travailleurs et la direction générale de la SN-SOSUCO», a-t-il laissé entendre.
De retour à Bobo-Dioulasso, le ministre en charge du Travail est allé faire le point de la rencontre au président du Conseil d’administration de la SN-SOSUCO, El Hadj Barro Djandjinaba.
La délégation gouvernementale était composée en plus du ministre d’Etat et de son directeur de Cabinet, Mohamed Savadogo, du gouverneur de la région des Cascades, le colonel Jean Charles dit Yenapono Somé et des autorités locales.
Créée en 1965, la SN-SOSUCO emploie plus de 3 000 salariés avec une production annuelle de 30 000 t.
DCRP/MFPTPS
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Inclusion financière : l’Association Rayim-taaba pour le développement et l’entraide (ARDE) outille une soixantaine de personnes 

Du 08 au 10 mai 2023, l’Association Rayim-taaba pour le développement et l’entraide (ARDE) organise une formation sur l’éducation financière au profit d’une soixantaine de personnes. L’objectif est de permettre un épanouissement financier des participants. La cérémonie d’ouverture de l’atelier a eu lieu ce lundi 08 mai 2023 à Ouagadougou.
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Transition : Les Trésors humains vivants disent merci au Chef de l’Etat

Ouagadougou, 8 mai 2023). Le Président de la Transition, Chef de l’Etat, le Capitaine Ibrahim TRAORE a reçu en audience, ce lundi matin, les Trésors humains vivants (THV) du Burkina Faso.
La délégation est venue remercier le Chef de l’Etat, pour la distinction au grade de Chevalier de l’Ordre du mérite auquel ils ont été élevés en tant que personnes détentrices de savoirs et de savoir-faire authentiques dans le domaine de la culture lors de la 20e édition de la Semaine nationale de la culture.
Selon le porte-parole des THV, Me Titinga Fréréric PACERE « ces Hommes qui concentrent le savoir, la connaissance, la culture », trouvent en cette distinction une reconnaissance de leur œuvre et en cette audience un honneur à leur égard.
« Pour l’essentiel, nous avons été honorés, pour la première fois depuis la création des Trésors humains vivants il y a 10 ans, de rencontrer notre Chef de l’Etat. Cela nous encourage à tout faire pour préserver notre patrimoine culturel », s’est réjoui Me Titinga Frédéric PACERE.
« L’homme africain est d’abord culture. En raison de cela, si on a institué les Trésors humains vivants c’est justement qu’ils incarnent la culture mais surtout qu’ils fassent connaître la culture, qu’ils développent la culture, qu’ils enseignent la culture », a indiqué le porte-parole.
Dans cette logique, les THV ont la mission de travailler à former une relève pour participer davantage à la promotion de la culture et des savoir-faire culturels.
Au cours de cette audience, les THV ont remis au Chef de l’Etat des présents issus de leur savoir-faire et symbole de leur contribution à l’effort de guerre.
Les Trésors humains vivants sont des personnes possédant un haut niveau de connaissances et de savoir-faire pour interpréter et recréer les éléments spécifiques du patrimoine immatériel de notre pays.
Direction de la Communication de la Présidence du Faso
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Ministère de l’Energie et des mines : Début des sessions de formation de 2023

Ministère de l’Energie, des Mines et des Carrières : Les sessions de formation de 2023 lancées
Dans le cadre de la mise en œuvre du plan de formation triennal glissant 2021-2023 du ministère de l’Energie, des Mines et des Carrières (MEMC), le Conseiller Technique du Ministre, Kuilga Emmanuel YAMEOGO, a lancé les sessions de formation du personnel du ministère, le lundi 8 mai 2023 à Koudougou dans la région du centre-Ouest.
Mesure et métrologie des hydrocarbures et Technique de réconciliation des opérations minières à ciel ouvert ou en souterrain, sont les deux thèmes des formations qui ouvrent le bal de ces sessions au titre de l’année 2023. Ils seront dispensées respectivement aux techniciens de l’énergie et ceux des mines et contribueront au renforcement des compétences des agents à profil spécifique du ministère. Selon le Conseiller Technique Kuilga Emmanuel YAMEOGO, les secteurs de l’énergie et des mines font face à d’énormes défis. « Pour les relever, cela passe par la capacité de notre ministère à assurer un suivi contrôle efficace et efficiente de ces secteurs », a-t-il insisté.
Au total, une trentaine de formations sont inscrites dans le cadre de ces sessions et concernent aussi bien le personnel spécifique que transversal du département du MEMC. « Cela traduit l’engagement du Ministre à accompagner le renforcement des compétences des agents de son département et des agents à profil spécifique en particulier. » a-laissé entendre Kuilga Emmanuel YAMEOGO.
Ces sessions de formation entrent dans le cadre de la mise en œuvre du plan de formation triennal glissant 2021-2023 du MEMC. Ce plan a été élaboré par la Direction des ressources humaines de concert avec toutes les structures du ministère.
Le Conseiller Technique du Ministre a invité tous les apprenants à être assidu et à participer activement afin de faire de ces sessions de formation une réussite. « Notre département est une mine d’énergie », a-t-il conclu.
Direction de la Communication et des Relations Presse
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Situation sécuritaire : « La protection des droits de l’Homme est un défi majeur… » Colonel-major Kassoum Coulibaly, ministre de la Défense

Ce jeudi 04 mai 2023 à Ouagadougou, le gouvernement a organisé une rencontre avec les patrons de presses et les organisations professionnelles des médias. Objectif, présenter la situation sécuritaire du pays à travers un état des lieux sur l’évolution de la lutte et la question du respect des droits de l’Homme qui fait couler beaucoup d’encre ces derniers temps.
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Journée mondiale de la liberté de presse : Siituation « plutôt bonne » au Burkina en 2023

Ce 03 mai 2023, le monde entier célèbre la journée mondiale de la liberté de la presse sous le thème : « Façonner un avenir de droits : La liberté d’expression comme moteur de tous les autres droits de l’Homme ». A cette occasion, le Centre national de presse Norbert Zongo (CNP-NZ) a sacrifié à la tradition en commémorant cet événement sous le thème national : « le CNP-NZ : 25 ans au service de la liberté d’expression et de la presse », et en donnant sa lecture sur l’état de la liberté de presse au Burkina Faso.
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Monde syndical : Le Conseil des ministre adopte trois nouveaux decret

Conseil des ministres du 03 mai 2023 : le gouvernement adopte trois décrets pour une nouvelle dynamique du monde syndical.
(Ouagadougou, 03 mai 2023). Le Président de la Transition, Chef de l’Etat, le Capitaine Ibrahim TRAORE, a présidé ce mercredi, l’hebdomadaire conseil des ministres qui a examiné et adopté plusieurs dossiers soumis à son ordre du jour, a indiqué le Porte-parole du gouvernement Jean-Emmanuel OUEDRAOGO à l’issue des travaux du Conseil.
Au titre du ministère de la Fonction publique, du Travail et de la Protection sociale, le Conseil des ministres a examiné et adopté trois décrets. Le premier décret porte sur le prélèvement à la source des cotisations syndicales des agents publics de l’Etat et les modalités de mise en œuvre.
Selon le ministre d’Etat, ministre en charge de la fonction publique, c’est « un prélèvement volontaire ». Ce qui signifie que « le militant syndical remplit une fiche qui permet à l’Etat de savoir quel est le montant qu’il consent au nom de son organisation syndicale et ce montant est coupé et reversé dans un compte dûment indiqué et exprimé par l’organisation syndicale en question », a expliqué le ministre Bassolma BAZIE. Ce décret, devra permettre, en outre, à l’organisation syndicale d’être financièrement indépendante et à l’Etat de veiller au contrôle de la transparence des ressources.
Le deuxième projet de décret adopté au titre de ce même ministère est relatif aux procédures de traitement et modalités de liquidation de la retenue pour fait de grève. Pour le ministre Bassolma BAZIE, ce texte vient disposer des modalités de retenue pour fait de grève et fixe les montants qui peuvent être coupés à l’agent qui est allé en grève. « Et le montant qui doit être retenu est le 30e indivisible du salaire de base », a soutenu le ministre en charge de la fonction publique.
Le troisième dossier adopté au titre du ministère en charge de la fonction publique est relatif à la fixation du nombre et de la modalité de désignation des agents publics de l’Etat bénéficiaires de mise à disposition auprès des organisations syndicales. Ce décret concerne essentiellement ceux que l’on appelle « les permanents syndicaux ». Selon le ministre Bassolma BAZIE, « ce décret permet de dire que si les travailleurs ont eu confiance en vous en vous élisant premier responsable pour parler en leur nom, il faut forcément que l’Etat crée les conditions pour que l’intéressé soit disponible à tout moment afin qu’il puisse, faire face à un certain nombre de préoccupations, donner son point de vue dans la vie de la Nation ».
Le ministre BAZIE précise que l’adoption de ces trois décrets permet à notre pays d’être en conformité avec l’ensemble des conventions internationales notamment la convention 87 et la convention 98 de l’Organisation internationale du travail (OIT).
Au titre du ministère de l’Energie, des Mines et des Carrières, le Conseil a examiné et validé une demande de permis d’exploitation industrielle de la mine d’or de Poura à la Société Poura Gold Operation SA. Selon le ministre charge des mines, Simon Pierre BOUSSIM, le Conseil a accordé le permis d’exploitation sur la base des critères et des exigences que la société doit remplir. Cette mine d’or qui va couvrir une superficie de 32, 59 km2 a une production estimée à 11, 47 tonnes d’or. Cette mine va apporter plus de 51 milliards FCFA de recettes budgétaires à l’Etat et une contribution aux Fonds miniers de développement local à hauteur de plus 2 milliards 956 millions de FCFA. A la fin des activités de la mine qui vont s’étendre sur 10 ans, la société devra investir 4 812 750 000 FCFA pour les activités de fermeture et de réhabilitation de Poura.
Direction de la communication de la présidence du Faso
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